| | ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. | |
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| Sujet: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 14:10 | |
| Chloey Jyllian-Skye Sawyer. Kristen Stewart. Alors, je me prénomme Coraline, plus connue sous le nom de Britishbuckles. Je suis âgée de quatorze ans. J'ai choisi Kristen Stewart car elle représente vraiment bien mon personnage. Sinon, j'ai connu le forum YBM grâce à Bazzart et j'en suis heureuse car je pense que ce forum a un énorme potentiel. D'ailleurs, je pense être présente sur le forum le mercredi et le week-end, ce qui est plutôt bien, non ? Pour vous prouver ma bonne foi, j'ai lu le règlement correctement et le code est toi, B. Tamara Chamberlain. Puis avant de partir, j'ai un petit mot : Vous êtes tous des macarons. |
| ✿ Âgée de : Vingt ans. ✿ Née à : Paradise, une ville située en Californie. ✿ Nationalité : Américaine (à la quête de French kiss ?). ✿ Groupe : Jeunes et libres. Victime de la malédiction qui ne l'a pas encore mariée. ✿ Statut : Célibataire. Avec un sentiment étrange, un picotement dans le coeur pour un jeune et beau mâle, qui se trouve être son ami (si ce n'est son meilleur ami) Mykah. ✿ Travail : Chanteuse de bars (en soirée, donc). ✿ Avatar : Kristen Stewart. |
Dernière édition par C. Jyllian-Skye Sawyer le Dim 20 Nov - 15:03, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 14:10 | |
| Story of a lifetime.It's all about me. - Spoiler:
Jyllian, On m'a filé ton adresse. D'après eux, je dois écrire. Mais qu'est-ce que j'en ai à faire d'écrire ? Tout le monde s'en fout, toi la première. Tu vas déchirer cette lettre, et ce sera comme si elle n'avait jamais existé. Remarque, je ne t'en voudrais pas. Je n'ai pas envie de te dire qui je suis, sache simplement que mon père te connait. Enfin, ça t'est bien égal, je suppose. Tu te demandes simplement quand est-ce que cette lettre va s'arrêter. Dans pas longtemps, je te promets. Je ne cherche pas à être ton pote, à ce qu'il paraît, t'es en couple. Tant mieux pour toi, écoute. On m'a toujours dit de féliciter les gens qui avaient trouvé leur voie. Alors voilà, c'est fait. Tu le diras à mon père, je suis sûr qu'il ne me croira pas si je lui dis moi. Personnellement, je suis hétérosexuel, mais tout le monde me prétend bi. C'est absurde, je n'ai jamais embrassé un mec, et je ne compte pas le faire, ça doit être écoeurant. Bon, d'accord, tu me prends pour un fou sorti d'un asile qui te déblatère des trucs super indiscrets. Non, mais ne t'en fais pas, je comprends. Je suis juste légèrement déprimé, rien de plus. Tout le monde dit que je n'ai aucune raison de l'être, mais si tu savais. Si tu savais comme je souffre. Oh mon dieu, je ne me reconnais plus. D'habitude, ce verbe, je le garde pour moi, il bouillonne et il s'en va. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, je suis désolé. Je suis un pauvre con, t'aurais raison de le penser. Et puis, je n'ai pas le droit de venir m'immiscer dans ta vie, comme ça, à l'improviste. Je n'aurais pas dû accepter tes coordonnées, je ne sais pas pourquoi je l'ai fait. On m'a montré ta photo, en plus, ce n'est pas comme si je ne savais pas à quoi m'attendre. Je ne te trouve pas spécialement mignonne. Je ne veux pas être méchant, mais regarde la vérité en face, c'est tout, c'est un conseil. Et un conseil, on le prend ou on ne le prend pas, alors tu fais comme tu le sens. J'ai l'impression d'être un minable, tu vois. Je n'ai même pas préparé de brouillon, imagine. Je t'écris ça à la dérobée, je suis mes pensées et ça ne mène nulle part. C'est juste un grand océan pourri, c'est tout ce que c'est. C'est comme si tu venais de l'écraser avec ta chaussure, tu vois. Ta chaussure qui a traîné dans la merde. Non, je suppose que tu fais attention à tes pompes. Sur la photo, t'étais en robe. T'es mariée, aussi ? Je croyais que les jeunes de maintenant, libres, légers, ça ne se mariait jamais. Je dois me tromper. Je n'aurais jamais pensé que faire des excuses ou avouer son tort brisaient notre fierté aussi facilement et aussi difficilement. Est-ce que ça t'est arrivé d'être paumée ? Je veux dire, tu ne sais vraiment plus où aller et quoi faire. Moi, ça m'arrive tous les jours. Un coup, j'agis comme ça parce que sinon, je me fais déglinguer, un autre coup, ça ne me fait rien d'être différent. Je reviens chez moi la gueule en sang, à part ça, tout roule. Je suis comme sur un petit nuage. Oui, bon, encore une fois, mes pensées s'emmêlent et ce que je t'écris n'a aucun sens, je sais, ça va faire cent fois que je me le répète dans ma tête et peut-être même dans cette lettre. Au moins, tu ne diras pas à mon père que je lui ai désobéi, quand tu le croiseras, à l'occasion. T'as des bonnes relations avec tes parents ? C'est juste une question de curiosité, si tu n'y réponds pas, çe ne me fera ni chaud ni froid. Finalement, ce n'est pas si court que ça ce que j'ai écrit. Passe un bon réveillon de Noël et appelle-moi S, ça m'ira bien. S, J'ai bien eu ta lettre, elle a mit longtemps à arriver mais elle est arrivée. Contrairement à ce que tu pensais, elle m'a fait du bien. Peu importe si je te connais ou pas, ça m'a permis d'avoir une bonne raison de m'enfermer dans ma chambre (malheureusement commune, vive l'université !). J'ai souri, pleuré, ri. Elle m'a donnée toutes les émotions possibles et imaginables. Elle m'a un peu transportée, aussi, je l'avoue. Mais c'est que je dois avoir des goûts de chiotte, sûrement. Tu n'aurais pas dû me dire de passer un bon réveillon, ça m'a minée le moral. Heureusement, c'était la fin de la lettre, il me restait deux/trois mots, pas plus. T'as eu de la chance, S. La prochaine fois, tâche d'être moins franc et gentil. Oui, ça te paraît bizarre mais j'ai vraiment passé un Noël à la con et c'est le cas de le dire. J'étais chez ma famille, enfin, une partie, une famille lointaine, que je n'avais pas vu depuis des siècles, près de Manchester. C'est loin de l'université mais je pensais que ça valait le coup. Et finalement, j'ai assisté à la première querelle entre ma tante et mon oncle (mes parents se répétaient souvent, quand ils s'engueulaient, qu'ils étaient le seul couple de la famille à se détester). Et je crois bien que c'était la goutte d'eau. Ils se sont séparés, c'est génial comme Noël, pas vrai ? Je ne sais pas pourquoi je te raconte tout ça, alors que tu ne m'as rien dit sur toi. Enfin, bon. J'ai dû ramené les gosses dans le studio d'une amie. Tu sais, les monstres que t'as parfois dans ta famille, tes cousins. Petits, on était lié comme les cinq doigts de la main. Mais en grandissant, ils sont devenus si insupportables que j'ai préféré couper les ponts. Et finalement, aujourd'hui, je me retrouve à devoir les garder tout en m'occupant de mes études et en voyant le reste du monde être amoureux, amoureux de tout, alors que moi, je suis un peu une âme désespérée, ces temps-ci. Je déteste ce mot. Je n'ai jamais eu d'amoureux. Sauf quand j'étais encore chez moi, que je n'avais pas tout plaqué pour de putains d'études. Depuis que j'ai dit à tout le monde que j'étudie loin de ma famille, mes amis, mon meilleur ami, toute la merde du monde me tombe dessus. Alors qu'à la base, tout le monde m'encourageait. Enfin, ce n'est pas grave, ça me déprime juste, c'est tout. T'as déjà eu des copines, toi ? Quelle question, bien sûr que t'en as eu, t'as l'air beau, philosophe et toutes les filles aiment les gars tristes, parce qu'ils ont plus souvent envie de câlins. Ce n'est pas vrai ? Je déteste l'injustice, je te jure que ça me fout les boules. C'était si simple quand je n'étais encore qu'une gamine pleine d'espoir et de rêves, inconsciente sur la vie qui m'entourait. Je pensais avoir une famille heureuse, une famille sans problèmes, et voilà où cette famille idéale a mené. Une tante et un oncle séparés, alors que je les prenais presque comme mes parents. Des cousins, de vrais gamins, chiants comme le monde. Et des parents qui se détestent mais qui restent ensemble pour me faire plaisir. J'aimerais bien qu'ils aient un autre enfant, juste pour voir la réaction. Ils se casseraient, cette fois, et me le laisseraient sur le bras, ou ils continueraient à nous faire du mal, en se bousillant la vie, en se voilant la face, croyant nous rendre heureux avec des cadeaux ? Je suis sûre qu'ils me ficheraient à la porte, si je leur disais ça. Ils me diraient que ce n'est pas ça, que je ne comprends rien et tous ces trucs de parents que tu ne comprends jamais. Tu dois avoir une vie de rêve, mon Dieu, qu'est-ce que je t'envie. Je n'ai jamais vu ta photo, mais tu dois être plutôt beau gosse (je me répète, j'ai honte). Non, rassure-toi, je ne cherche pas à te draguer, j'aime juste les belles choses. D'accord, tu n'es pas une chose, mais t'as très bien compris, pas vrai ? Si on compare ta lettre et ma lettre, c'est la tienne qui est la plus touchante. Tu fais passer tant d'émotions, que j'en ai presque les larmes à l'oeil. Et oui, ne sortons pas des clichés, les filles sont des pleurnicheuses. Pourquoi j'échapperai à la règle ? Bref, ais confiance en toi, tu le mérites, et ne doute pas sur ce que tu fais. Sinon, vu que tu ne me dis presque rien, je ne peux pas vraiment savoir qui est ton père, t'as oublié ce détail ? Je connais tellement de monde. Ma vie est presque mondaine, vue de l'extérieur. Quelle blague. Il faut que je te laisse, mon amie m'appelle. Mon plus petit cousin s'est pissé dessus, et ça recommence. Tu veux que je t'envoie sa couche par colissimo ? Tu sais, j'en serais capable. Médite bien sur mes vannes débiles et appelle-moi J à ce compte-là. Six mois plus tard. Amour, J'adore t'envoyer des lettres pleines de sentiments, j'adore entretenir avec toi une relation ambiguë et, si je puis dire, une relation amoureuse. Je n'aurais jamais pensé aimer une fille comme toi un jour, je n'aurais jamais imaginé que ce dite-fille me transforme en tout ce que je n'étais pas. Et, pour être honnête, je crois que j'aime ça. J'aime me sentir gentil, doux, attentionné face aux autres, j'aime me sentir presque vivant, j'aime avoir la sensation de renaître chaque fois que je t'écris et des erreurs que j'ai faites qui s'évaporent et me laissent un goût amer dans la bouche. Je t'aime et je ne veux pas te montrer l'image de quelqu'un que je ne suis pas, un pauvre type qui met sa vie en l'air à cause d'erreurs irrévocables. Alors j'ai besoin de te le dire, et ma lettre sera sûrement plus courte que les précédentes, je suis un prisonnier. Voilà pourquoi je ne te dis rien sur moi, voilà pourquoi on ne se verra jamais en vrai, voilà pourquoi je déteste te dire que je t'aime, parce que je sais que ce ne sera jamais aussi sincère que si j'étais dehors avec toi. Tu ne sais pas à quoi je ressemble et tu prétends m'aimer. Mais où va notre relation, Jyllian ? Où va notre amour ? Je vais te le dire. Il fonce droit dans un mur. Ne me pose pas la question de savoir ce que j'en pense réellement, j'aurais bien trop mal une fois que je t'aurais écrit la réponse. Je tiens à toi, et je crois que je tiens plus à toi que tu ne tiens à moi. Je vis ma vie à travers toi, je m'épanouis grâce à toi, ne me lâche pas je t'en prie et comprends le besoin que j'ai de te dévoiler la vérité. Je ne peux continuer de te mentir plus longtemps. Je n'arrive plus à le supporter. Tu sais tellement de choses fausses. Mais là où tu ne dois pas douter, Jyllian, c'est qu'envers et contre tous, je t'aime. Et qu'aucun de mes sentiments ne changera jamais. Ils resteront intacts, j'aurais ce remords de t'avoir laissée sur la conscience, si tu décides de me fuir. J'en souffrirais, j'en mourrais. Tu n'es pas méchante, Jyllian, je le sais plus que quiconque. Tu es un vrai ange, une fille parfaite, belle, intelligente. Laisse-moi une chance, seulement une, je te prouverais que je vaux mieux que ces mensonges. Je te promets de te tenir à l'égard de mes anciennes magouilles et de ne plus replonger dedans. Je te demande juste de tout faire pour me faire sortir, c'est tout. Je crève à petit feu, ici, dans cette cellule noire, glauque, morbide. J'ai envie de te toucher, Jyllian, j'ai envie de t'embrasser. Je n'arriverais plus à me satisfaire avec tes lettres, ta plume. Je veux vivre avec toi, je veux respirer avec toi et je veux t'aider dans tes devoirs, me moquer de tes professeurs avec toi, rire de tes cousins qui sont retournés chez ton oncle et ta tante toujours ensemble, avec toi. Je veux tout faire avec toi. Mais pas par distance. Notre supplice a assez duré, tu ne crois pas ? Six mois, c'est long, interminable. Pire que de regarder les aiguilles avancer quand tu te fais chier, chez toi, assis sur une chaise. Je l'ai déjà fait, je sais ce que je dis. Ne m'en veux pas, je ne m'en remettrais pas. Je t'aime, ton S enflammé.
Mykah, Pourquoi suis-je partie ? Comment ai-je pu oser abandonner Paradise ? Qu’est-ce qui m’a poussée à te laisser tomber ? Je m’en veux, Mykah. Terriblement. Il n’y a que des cons, ici. Entre un professeur pire que la Castellane et un gars en prison pour qui j’ai commencé à ressentir des sentiments. J’ai besoin de toi, Mykah. Je ne sais pas où je vais, ni ce que je fais. Quand je me lève le matin, je ne pense qu’à me recoucher ou partir. Loin. Au bout de la Terre. J’en ai marre de cet endroit, je veux rentrer. Je veux te retrouver, ton sourire, ta bonne humeur et mon ami, mon meilleur ami. Je n’arrive plus à me contenter de lettres, c’est trop difficile. Tu es le seul qui puisse me comprendre aussi aisément. Ici, j’ai l’impression d’être une étrangère. Pourtant, j’y suis depuis un an, presque. Un an, Mykah. Est-ce que seulement tu te rends compte ? En partant, je te disais presqu’adieu. Au bout d’un an, je craque. Est-ce de la lâcheté ? Que vont penser mes parents, ma famille et, surtout, que vas-tu en penser, toi ? Tu étais triste mais tu trouvais que c’était bien, pour mon avenir. Tu voulais que je m’épanouisse. Et aujourd’hui, je t’apprends que je suis toujours au même point. Sans savoir ce que je veux faire. Chanter dans les bars, est-ce vraiment un métier ? Non. Non, ce n’est qu’un amusement, voyons. Comment aurai-je pu espérer, petite, gagner ma vie avec ce putain de boulot ? Dis-moi Mykah, pourquoi ai-je été si naïve, pourquoi découvrir le monde fait si mal ? J’ai l’impression d’être restée dix-neuf ans dans l’enfance, alors que j’aurais dû la quitter il y a bien longtemps. Est-ce que c’est toi, moi ou les autres qui ont été responsables de cette sensation ? Tu me protégeais peut-être trop, je te faisais peut-être comprendre que j’avais besoin de protection, ou les autres se débrouillaient pour que je le pense. Je n’arrive plus à bien penser, je me raconte des conneries depuis des semaines. Ici, la pluie chie comme la vache, le soleil se pointera quand les poules auront des dents. Demain, tu viendras me chercher à la gare. Je crois. J’aimerais. Mais tout le monde s’est tellement décarcassé pour que j’intègre cette université, j’aurais honte d’arrêter. Est-ce que tu as déjà été dans une impasse, toi ? Je trouve ça tellement douloureux, que je ne te le souhaite pour rien au monde. Ce que j’aimerais avoir une sensation de vide autour de moi, de légèreté, pouvoir m’envoler sans que les autres ne m’en veuillent de quoique ce soit, pouvoir respirer. J’ai l’impression d’étouffer, ici. Et je pèse mes mots, c’est pire. Je crois que c’est la plus minable lettre que je t’ai envoyée au cours de cette première année. Que vais-je recevoir en réponse ? Garde tes lamentations pour toi ? Je te comprends mais je ne peux rien faire ? Tu m’as sûrement oubliée, j’aurais dû répondre à ta lettre beaucoup plus tôt. Est-ce qu’on se connaît réellement ? Est-ce qu’on est lié comme les doigts de la main ? Est-ce qu’on n’est pas trop lié, justement ? Ô Mykah, pardonne-moi. Je n’aurais jamais dû écrire ces bêtises. Je vais bien, tout va bien. Je rentre bientôt, j’ai presque fini mes études. Voilà ce que j’aurais dû te dire. Avec tout ça, je ne pense même pas à te demander comment tu vas. Je te laisse, j’ai un cours dans dix minutes. Bisous mon Mykah chéri, Ta Jyllian.
Dernière édition par C. Jyllian-Skye Sawyer le Sam 26 Nov - 15:49, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 14:21 | |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 15:31 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 18:16 | |
| j'aime pas tant kristen, mais elle est juste splendide sur ton avatar et ton gif. en plus, le choix de scénario déchiresamère. bienvenue, et bon courage pour ta fiche! |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 18:55 | |
| Kristen Bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 21:36 | |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 21:42 | |
| Quel retard accumulé dans les réponses, vous me charmez avec votre accueil rapide, petite bande de fifous. Merci bôcoup. Ô Mykah le plus beau, Mykah le plus talentueux, Mykah mon petit Yop. (Désolée, je donne souvent des surnoms débiles, ridicules et pitoyables.) Tu as bien raison de me construire un temple (en chocolat, en plus), rien que pour t'excuser déjà d'avoir failli me tuer. Imagine. J'ai lu ton scénario et j'en suis presque tombée à la renverse. Il déchire tellement le string de ma mémé. (Elle a un string, au moins ? ) Attends, attends, je viens bombarder ta boîte. Tu vas regretter de m'y avoir invitée. |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Dim 20 Nov - 21:47 | |
| - C. Jyllian-Skye Sawyer a écrit:
Ô Mykah le plus beau, Mykah le plus talentueux, Mykah mon petit Yop. (Désolée, je donne souvent des surnoms débiles, ridicules et pitoyables.) Tu as bien raison de me construire un temple (en chocolat, en plus), rien que pour t'excuser déjà d'avoir failli me tuer. Imagine. J'ai lu ton scénario et j'en suis presque tombée à la renverse. Il déchire tellement le string de ma mémé. (Elle a un string, au moins ? ) Attends, attends, je viens bombarder ta boîte. Tu vas regretter de m'y avoir invitée. Toi et moi on va bien s'entendre! J'adore les surnoms débiles à la rien avoir! Haha mais c'était un mal pour un bien s'il a réussi à te faire t'inscrire! Et bombarde ma boite, noie moi dans tes mps que je ne regretterais pas! |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Sam 26 Nov - 11:36 | |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Sam 26 Nov - 16:40 | |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Sam 26 Nov - 17:12 | |
| Bonjour mademoiselle J'ai bien cru que tu n'allais pas finir ta fiche et que tu allais laisser Mikah dans un desespoir le plus total *out* Enfin brefounet, comme tu le sais, tu es en compétition avec une autre Kstew ( http://www.youngbutmarried.net/t788-jordan-show-me-your-love ) Et comme Mikah ne peut pas choisir, il m'a demandé de m'en charger (parce que je suis sa vie ) Donc voila, même si je déteste faire ça :
Et bien tu as le droit de garder Kristen et d'être Julidée (je sais, c'est pas beau) Je m'explique : Bien que Jordan écrive aussi très bien, je me suis retrouvée charmée par ta fiche, ta façon d'écrire, ta façon de la présenter en lettre, enfin bref, ta fiche était vraiment passionnante et c'était la vie. Puis vu que Mikah est enchanté par ta fiche (c'est le principal étant donné que tu es son scénario) lui aussi, et bien je ne me vois d'autres choix que de te valider.
Voili voilou, amuse toi bien et vas vite nous vendre du rêve par RP |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. Sam 26 Nov - 17:20 | |
| Non, moi, laisser mon chouchou à la crème dans un désespoir total ? Jamais. Je concoctais cette petite présentation en même temps de réviser des contrôles qui venaient les uns à la suite des autres. Raconte ta vie off. Je suis si contente de pouvoir garder ma Kristen, elle correspond si bien au rôle. Et surtout, ça a du bon d'être Julidée. Bref, je suis bien contente d'avoir pu faire la différence, je vous promets de beaux rps (j'essaierais, du moins). Je suis désolée pour Jordan, sincèrement. Mais sur ordre de Mykahchou, je devais me mettre en compétition, en même temps, ça se comprend, Krikri. Ouais bon, ça va, j'ai compris, je me la ferme. |
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| Sujet: Re: ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. | |
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| | | | ৩ Tu feras moins le malin quand j’appellerai mon psykokwak. Fail. | |
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