Un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi.
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WHAT ARE YOU HIDING ?
Sujet: Un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi. Sam 7 Jan - 20:23
FT.Josh Hartnett
jettwalls
Wess Dwayne Finley On m’enlèvera pas de l’idée que la connerie est une forme d’intelligence.
Mon personnage ? Que dire sur lui ? Je devrais peut-être commencer par dire que Wess, aussi surnommé Finley est né le 01 Janvier 1983. à Memphis ce qui fait de lui un américain, actuellement, il est inspecteur de police. Dans la vie, il aime les femmes pas les minettes 'parait qu'aux dernières nouvelles, on lui prêterait une relation avec une couguar. FAUX. C'est un célibâtard, la gente féminine le fuit, c'est peut être du à son manque de stabilité affective. C'pas de sa faute s'il est jaloux, si ? et est seul, sans attâche, du moins attaché à une belle demoiselle mais c'compliqué. Il vit dans la jolie ville de Paradise depuis TROIS ANS et ses habitants le qualifient souvent de chieur, bougon, plus ou moins généreux et le reste, vous l'apprendrez en lisant l'histoire de sa vie.
L'histoire d'une vie de merde, dans une ville de merde
« Tu viens quand ? Pour combien d’jours et pourquoi ? ». Troisième appel de la journée, je me sens un brin « croix rouge », un brin « SPA ». Tous les animaux blessés trouvent refuge chez moi, à mes frais bien sûr, sinon c’est pas marrant. Le petit frère appelle : « 15 jours ». Damn, c’est beaucoup. C’est peu et –franchement- ça m’fait chier un peu : « D’accord mais pas un jour de plus ». Je raccroche, il va dormir sur le canapé, avec le reste des chiens battus, des chiens abandonnés. Un peu QG, mon chez moi. Un peu « naïf », moi. Pas grave, pour moi les amis, ça compte, ça ne s’oublie pas et puis ça se choisit et parfois pas. La famille ça s’impose et ça ne pardonne pas. Les amis, c’est un de perdu, un de perdu. Tant pis mais, j’suis comme ça.
« Dix secondes, dix secondes…bordel ! », mes pieds tapent le sol, le rythment, le secouent. Mes pieds, ils veulent frapper contre cette fichue porte, l’exploser et kicker cet imbécile hors de ma salle de bain. Ma patience a des limites, disons que les limites de ma patience s’cherchent parce que ‘faut bien que j’sois honnête, y’en a peut-être pas. « TROIS secondes, couillon. TROIS ! » Un coup vient résonner dans l’couloir, l’écho fait rage, ça y est : je suis énervé. C’comme ça. J’y peux rien, il suffit que j’me sente douillé à grand calibre pour réagir au quart de tour. Merci qui ? Merci l’pater, lui aussi il gère dans l’domaine de la prise de bec. Sauf que lui, il réussit à s’faire entendre à coup de ceinturon. La porte s’ouvre, je manque de soupirer, je manque de lâcher un cri d’joie, faire la danse du winner. J’ai réussi l’impossible, déloger c’branleur. Impossible is nothing qu’il disait c’Shakespeare, hein ? Impossible, is me. Parce que oui, j’suis du genre invivable, irascible. L’mec qui passe son temps à rouspéter lorsqu’il fait la queue au supermarché, cherchez pas : c’moi. « Ton petit dej’, tu l’prépare seul, comme un grand » je crache, versant dans l’levier le café de la veille, un sourire fendant mes lèvres, je le défis du regard. J’connais l’gaillard, par flemme, il aurait réchauffé. J’attrape ma veste, fourre les clés dans ma poche et précise « au parasite », d’un ton bourru : « T’avise pas d’élire domicile ici, deux jours c’pas UN mois, compris ? » il hoche la tête, habitué à ma personne, je note ce qu’il a à dire : « Bon. A plus, l’puceau ». Bye Bye, frère d’arme. Chez moi ? C’est un refuge au régiment. Ma faction, je l’accueille à bras ouverts parce que oui, les potes que j’me suis fait à la guerre, c’mes frères, c’mes frères. Et personne n'a intérêt à dire l'contraire
Moi, c'est James, James Bond. En plus gros, en moins con.
Je n’avais pas d’but, pas d’avenir. Du moins, c’est ce que je pensais. Je pensais plein d’choses, pleins d’trucs cons et pleins d’trucs vrais. Je n’avais aucune ambition, juste des rêves et des illusions. Mec, les rêves sont faits pour être rêvés, reçu 5 sur 5. Je n’avais pas besoin d’aller puiser détermination et volonté quelque part pour jouer de mes neurones. J’étais persuadé de n’en avoir aucun. Alors, à 18 piges, j’ai claqué un baiser sur le front de la mater, échangé une accolade avec le pater et j’suis parti, tracer mon chemin, tracer une voie, en plein milieu des tranchées : USS Dwight D. Eisenhower, Afghanistan. Ce n’était pas beau, ce n’était pas moche et des combats, je n’ai entendu que des échos, du moins, avant que je n’y prenne part. Mon entrainement fini, deux ans après. De Wess Finley j’suis passé au grade d’officier Finley. A vous d’voir si prestige il y avait, parce que les tâches imputées n’étaient pas très reluisantes.
J’ai vu des horreurs, j’ai vu des gens mutilés, j’ai enchainé les tirs, j’ai pris les coups, je n’ai jamais flanché. Là ou d’autres échouaient, j’ai mis un point d’honneur à réussir. Réussir, c’tenir à la vie parce qu’au front, tout est de bonne guerre. Au front, ouai, tout n’est que mer-de. Et ‘faut dire, je m’y étais habitué, tellement que lorsque mon service fut fini, que je fus tout aussi vite remercié, je me suis retrouvé à jouer les portes manteaux. Pot de fleur, prenant poussière dans une New York, dégueulasse. Un matin, un appel et je me précipitai : billet d’avion, vol charter, direct sur Paradise. Vol vers « trou du cul du monde », un sourire aux lèvres. Ma vie, j’allais la mener, tenir les rennes, à défaut d’une mitraillette. Nouveau joujou, nouveau boulot. Arrivé là, j’ai chopé l’insigne et le petit calibre, plastoc ou ferraille, sérieux, tout me paraissait faux. Dans c’coin paumé, flic c’était sheriff, non ? Aucune idée. Surtout que fuck, 'parait qu' j’avais chopé l’syndrome post-traumatique.
« B’jour », je lançai à la jeune femme, vache à ses heures perdues, mâchant ostentatoirement son Hollywood chewing gum, avec la touche vulgaire des nanas de l’outback , agricultrice sauvageonne aux décolleté pigeonnant et pigeonné, rien dans l’crâne : essayez pour voir, allez y toquez, ça sonne creux : « J’ai réservé une chambre » « Une minute ». Son « une minute » ‘fallait l’entendre sérieux, mélodie du bonheur revisitée d’une voix gutturale, inquiétante. « Tenez, la 234, mon bichon ». Le « mon bichon » sonna comme une insulte mais, je préférai faire profil bas, blessé dans ma « pas très haute » estime de moi. Alors vexé, je m'en étais allé, sans dire merci.
« Et vous avez suivi quelle formation ? » Sérieusement ? Il avait les yeux posé sur mon CV. Un gros bloc de feuilles –classées pour la plupart- secret défense, foutage de gueule n’est-ce pas ? Dans les règles, en effet. Je m’éclaircissais alors la gorge, laissant mes références sortir à la manière d’une poésie, dramaturge, un brin rassis : « A New York, j’ai bossé un an à la brigade de stup’ » « Ah » « J’ai fait une formation supplémentaire cet été » « Ah ». BORDEL DE MERDE ? Est-ce qu’il pouvait argumenter ? « Bon et bien, allez rejoindre vos coéquipiers ». Trop gentil, je me laissai trainer jusqu’à la sortie, avant de saluer le « boss » qui n’avait de « boss » que les lettres d’or écrites sur sa porte et rejoignais les bouffeurs de donuts qui allaient m’servir d’équipe, un sourire carnassier étirant mes lèvres. TOUS AU CLUB FITNESS les amis.
Je tenais ce putain d’flingue, pointant droit sur un malfaiteur (étonnant, n’est-ce pas ? Il y a des malfaiteurs à Trouville), hésitant. Complétement flippé, ouai. C’était la première fois que je devais faire enjoue sur un civil, depuis mon retour d’là-bas. La première fois d’jà que je priais pour que ce soit la dernière. J’étais venu là, à Paradise pour jouir d’un emploi pépère. Mais le crime, n’avait –hélas- aucune frontière. « T’inquiète, c’est toujours comme ça, la première » « C’pas l’premier que j’couche alors remballe ton discours de réconfort. Déjà donné ». Je m’éloignai, grisé, paumé, déchiqueté. Ce n’était qu’un gosse. Merde au carré du cube, de la puissance 5. Voilà, c’est chier.
Le petit vieux me regardait d’un œil curieux, ouai, je n’ai fait aucune université, aucune école. Pas assez doué alors l’mot fléché, il m’a buté, une flèche entre les deux yeux. « Disque en deux lettres, c’est CD, jeune homme » MERCI, MERCI, beaucoup, ça faisaient DEUX heures que je buchais dessus. « Con » Pardon ? Je levai le regard, irrité vers la provenance de la voix féminine qui venait de s’adresser à moi : « QUOI ? », elle sourit, jolie : « Con, idiot en trois lettres, juste là » pointa-t-elle, interdite. Cupidon, petit connard, qu’est-ce que tu m’as fait à c’moment-là. C’est à ce moment-là que j’ai rencontré la plaie de mon existence, celle qui allait fendre mon cœur et trifouiller d’dans au petit bonheur. Expérimentatrice des pires châtiments, chirurgienne dans peines : j’allais l’aimer avec un M, elle allait m’inspirer encore plus de N. Foutre mon organe noble en pièce détachée, largué dans un cimetière pour caisses volées. Ecrire sur mon épitaphe « bien fait » et danser sur ma tombe jusqu’à la nuit tombée. « J’savais déjà » « Pourquoi ne l’aviez-vous pas écris, alors, hein ? ». Ma mâchoire se serra, un sourcil s’arqua, c’était la fête des phéromones, animaux que nous étions, nous entrions dans une parade. Fais-gaffe mec, fais bien la roue. « Parce que » « C’est tout, vous n’avez pas mieux comme excuse bidon ? » « Si, mon chien a bouffé mon stylo ». Nous échangeâmes un regard circonspect avant d’éclater de rire. Bordel, amour, tu as eu raison de moi.
« Je devine » « Allez-y, j’écoute » « Je devine que vous êtes intelligente ». Un sourire fendit ses lèvres : « Perspicace. A mon tour, je devine que vous l’êtes, bien plus que vous ne le pensez » « Perspicace, j’me donne un genre » « Le genre stupide ? C’est nouveau » « ‘Parait que je suis visionnaire ». Nous nous quittâmes lorsqu’elle descendit du bus, face à un building. Nous nous revîmes, le lendemain, partagés entre surprise, fascination et retenu, nous ne nous parlâmes pas. Nous restâmes là, comme des abrutis à nous dévisager. Même manège, pendant toute une semaine, tout un mois et puis : « Je devine » « Allez-y, j’écoute » « Je devine que vous voulez mon numéro » « Perspicace. A mon tour : vous me donnez votre numéro ? ». Elle sortit un marqueur de son sac et écrivit les chiffres avant de me quitter à nouveau. Je tenais à l’appeler. « Allô ? » « C’moi, le mec « perspicace » »…à travers la vitre, je vis qu’elle souriait, j’étais tombé de mon piédestal de grand égoïste, parce que je me sentis happer par un phénomène particulier, comment on dit déjà ? L'euphorie
D’accord, cette pétasse m’a broyé les tripes. Elle m’a trucidé. Quelque chose clochait depuis que j’avais mis les pieds à Paradise, tout l’monde parlait d’une malédiction, du moins, les toxicos qu’il nous arrivait de mettre derrière les barreaux. La malédiction m’avait mis une branlée monstre avant de me pointer encore. Cupidon avait décidé qu’il n’en avait pas encore fini avec moi. J’savais pas où est-ce que je mettais vraiment les pieds, cette nana là, la deuxième - pas la harpie sans cœur et sans cervelle- allait me servir de bouclier : « Inspecteur Finley » Je m’avançai en direction du bureau du boss, sous les regards de mes collègues : « Finley, voici X de la brigade des stup’ de Los Angeles, elle va collaborer avec nous sur l’affaire Kocto » Hein ? WTF ? Me mettre dans les pattes un autre boulet, je n’étais pas consentant, le boulet allait vite se transformer en bouée, bouteille d’oxygène. L’horreur pour un mec indépendant. Vive Paradise, les gens .
et sinon danslavraievie ?
Bonjour bande de petits curieux, si vous voulez tout savoir, les gens m'appellent CHIEUSE, j'ai un age très avancé sur le plan intergalactique, je suis une asgarde. Puis comme Josh Hartnett est ma vie et qu'il est sexuel comme pas permis sur terre, je l'ai choisi, c'est aussi simple que ça. YOUNG BUT MARRIED? Je l'ai connu grâce à youngbutmarried version d'avant :p et c'est vraiment cool parce que ce forum est FANTASMAGORIQUE c'est pour ça que je serais présente sur le forum 5/7, pas mal hein ? Puis avant de partir, laissez moi vous dire : on s'marrie et on s'fait des tonnes de gosses et en supplément un voyage sous les tropiques ( rayez la mention inutile). zoubi!
Sujet: Re: Un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi. Sam 7 Jan - 21:27
BIENVENUE PARMI NOUS, BEAU GOSSE Bonne chance pour ta fiche et si tu as des questions, n'hésites pas
Ne t'inquiètes pas, si tu as été supprimé c'est que tout le monde l'a aussi été pour le grand ménage mais si tu souhaites récupérer scénarios ou présentation, n'hésites pas a demander :)
Merci d'être revenu
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Sujet: Re: Un égoïste c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi. Sam 7 Jan - 21:31
Merciiiiiiii
( ouai, par mp , c'est possible ? xDDD)
C'moi qui vous remercie, le résultat est vraiment joli.