WHAT ARE YOU HIDING ?
| Sujet: SBEVANS ▬ « come on put your hands into the fire » Dim 20 Nov - 19:41 | |
| savannah bellina evans featuring; ashley greene Alors, je me prénomme Kerington , plus connu sous le nom de ben euh... Kerington, je suis âgée de dix neuf ans. J'ai choisi ashley greene car cela faisait longtemps que je ne l'avais pas choisie et puis bon elle roxe du poney . Enfin bon, sinon j'ai connu le forum Young but married grâce à une pub et j'en suis heureux/se car je pense que ce forum roxe du poney aussi d'ailleurs, je pense être présent(e) sur le forum 7/7 ce qui est plutôt bien, non ? pour vous prouver ma bonne foi, j'ai lu le règlement correctement et le code est TAMALIDE. Puis avant de partir, j'ai un petit mot : peace |
| ✿ âgé(e) de : 22 ans; ✿ né(e) a : NYC; ✿ nationalité : américaine & russe; ✿ groupe : jeunes et insouciants; ✿ statut : en couple; ✿ travail : étudiante ; ✿ avatar : ashley greene; |
Dernière édition par Kerington B. Evans le Dim 27 Nov - 23:30, édité 5 fois |
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WHAT ARE YOU HIDING ?
| Sujet: Re: SBEVANS ▬ « come on put your hands into the fire » Dim 20 Nov - 19:41 | |
| story of a lifetimeit's all about me New York City ; État-Unis dix-sept juillet mille neuf cent quatre vingt neuf. Je suis née dans la Grosse Pomme comme on aime l’appeler, à New York. C’était une belle journée ensoleillée, il y avait un temps magnifique, la température avoisinait les quarante degrés ce qui n’était pas vraiment anormal pour un mois de juillet. Cependant, je n’allais pas être la seule à venir faire le bonheur de mes parents, en effets nous étions deux, des jumeaux. Inutile de vous dire le choc que cela a pus faire à mes parents lorsqu’ils l’ont appris au bout du cinquième mois, lors des premières écographies le docteur avait pourtant assuré qu’ils auraient une petite filles et pourtant, surprise. Ils avaient entrepris de faire une chambre toute en rose, des coussins rose, le berceau rose, des ours rose, les murs rose, en bref c’était panique à bord. Leur petit garçon allait sans doute être traumatisé à la vue de toute cette énergie girl power. Aussi leur médecin les avait prévenus, ils allaient avoir des prématurés, c’était quelque chose de presque normal lorsqu’on allait mettre au monde des jumeaux mais ça leur avait mis une sorte de pression plutôt étrange. Des remises en questions quand a leur avenir, le travail de chacun, la maison, tout allait trop vite et ils étaient incapables de ne pas se poser trop de questions. Surtout après avoir appris que leurs enfants resteraient probablement plus de trois semaines à l’hôpital ils ne savaient plus ou ils en étaient. Toujours est-il qu’en cette fin d’après midi lorsque la main de ma mère se crispa sur la cuisse de son mari, il ne lui fallut pas plus d’une demi seconde pour comprendre que le travail venait de commencer, c’était trop tôt ils le savaient pertinemment. Le break sorti du garage sur les chapeaux de roue, ma mère à l’arrière suppliant son mari de se dépêcher sinon elle allait probablement le tuer et celui-ci qui faisait en sorte de ne pas se faire arrêter par la police ni de renverser quelqu’un au passage. Ils mirent une bonne demi heure avant d’arriver à l’hôpital, temps record étant donné le flux dense de circulation qui caractérise la ville. Bref il fallu près de cinq heures au personnel hospitalier et bien entendu à ma mère, avant que mon frère daigne pointer le bout de son nez, je le suivis deux minutes après. Nous étions nés sur la fin du septième mois et mes parents n’avaient pas finis de s’inquiéter pour nous.
Mes parents s’étaient rencontrés durant le lycée le plus huppé de New York, ils étaient sortis ensemble durant leur dernière année mais avaient finalement suivis des chemin différents. Lui, Ray Curtis, rejoignait à l’université de Yale tandis qu’elle, Victoria Eva,s, rejoignait sa mère en Angleterre. Ils avaient rompus d’un commun accord. Durant la première année les lettres pleuvaient mais la distance, le décalage horaire avait pris le pas sur leur relation et au final ils avaient perdu contact. Et ce fut cinq ans plus tard qu’ils s’étaient retrouvés par hasard dans un café de New York, c’était comme si rien n’avait changé. Ray n'avais pas eu besoin de réfléchir lorsqu'il l’avait vu, un regard, un sourire avaient suffit. C'était la femme de sa vie. Celle qu’il aurait voulus garder auprès de lui chaque secondes de son existence. Elle lui faisait perdre la tête, il la rendait plus folle de lui jour après jour. La flamme qui c’était allumé durant le lycée ne c’était jamais éteint. Il faisait tout pour la rendre heureuse, prêt à n’importe quoi, quitte à lui décrocher la lune s’il le fallait. Émerveillés l’un par l’autre ils n’avait d’yeux que pour leur amour, leur petite vie tranquille. Ils vivaient dans leur monde, plus personne n'était assez intéressant à part eux même, plus rien ne comptait à part leur bonheur qu’ils jugeaient parfait. Agés tout les deux de vingt trois ans ils ne voulaient plus rien perdre de leurs histoire, ils étaient jeunes mais ils savaient parfaitement ce qu’ils voulaient et cela ne semblait pas très compliqué. Ils avaient décidé d’emménager ensemble, de partir tout les deux et avaient opté pour un appartement sur la cinquième avenue. Un an plus tard Ray avait demandé la main de Victoria qui avait bien entendu dit oui, plus heureuse que jamais à l’idée d’épouser cet homme qu’elle aimait plus que tout au monde. Leur mariage avait été célébré dans la foulée et quelques mois plus tard ma mère lui annonçait qu’elle était enceinte. La boucle était bouclée en quelque sorte, un couple stable, un travail, énormément d'argent, un mariage et un bébé. Que demander de plus.
Los Angeles ; État-Unis dix huit août deux mille deux. ▬ « Savannah ! Tu viens prendre tes médicaments ou il te faut une invitation spéciale ? » La voix suave de ma mère retentissait depuis une bonne vingtaine de minutes dans toute la maison et moi la seule chose que j’arrivais à faire c’était regarder mon frère en train de se recouvrir entièrement les doigts de scotch. « Tu dois ranger ta chambre ! » Lui dis-je en pointant du doigt ses affaires qui trônaient au beau milieu de la chambre. Levant la tête vers moi il la secoua frénétiquement en haussant les épaules. « Je m’ennuie. » Répondit-il platement, poussant un soupir je sortis de la pièce, il me suivit en grommelant. « On dirais maman quand tu es comme ça… J’aime pas ça. T’es ma sœur, t’es mon demi moi, tu peux pas me donner des ordres. » Il avait sa mine grincheuse et essayait d’enlever son scotch en tirant la langue. « Je suis peut être ton demi toi mais maman va crier si tu ranges rien ! » Il se ventait peut être d’avoir deux minutes d’avance sur moi mais je ne pouvais pas m’empêcher de me dire qu’il avait été mal finis. Repassant par sa chambre je le vit triturer sa pompe à insuline. « Arrête de faire ça ! » Pour une fois il s’exécuta sans broncher, m’approchant doucement de lui je vérifiais que tout était en état avant de le serrer contre moi, j’avais l’impression d’avoir dix ans que plus que lui quand il faisait sa mauvaise tête. « Tu sais que tu dois faire attention… » Soufflais-je en l’aidant à enlever tout ce scotch. « J’aime pas être malade, j’en ai marre. » Je n’arrivais pas à le rassurer, car il souffrait de ne pas être comme les autres c’était dur pour lui et j’espérais que ma présence pouvait l’aider. Malgré tout ça c’était un garçon fort et très autonome, c’était lui qui me défendait parce que les grands de l’école aimaient bien m’ennuyer. « Toi au moins tu as de la chance, t’as pas de problèmes. » - « Oui je sais je suis la super jumelle et toi tu es le sale jumeau. Tu sais que ça va pas non plus. » Je lui avais répondu de manière très froide, je n’aimais pas quand il s’avouait vaincu et qu’il nous faisait le remix de Caliméro. C’était devenu comme un jeu pour lui, celui de nous deux qui était le plus malades remportait sûrement un lot dans son esprit parfois tordu. Bien entendu ma mère devait être toujours alerte, Ethan était celui qui avait le plus besoin d’attention et c’était une chose tout à fait normal, il était diabétique et avait réellement besoin de soin à chaque instant. Surtout parce qu’il était très bagarreur et qu’il fallait sans cesse vérifier son insuline, il était obligé de l’avoir sur lui vingt quatre heures sur vingt quatre, on ne savait pas si un jour ça changerait. Mais lui, il ne voyait pas ça comme cela, il voulait qu’on le laisse tranquille, j’étais une des seules qu’il laissait vérifier si tout était normal, mais je savais que si je n’avais pas été sa jumelle, juste sa grande ou sa petite sœur ça n’aurait pas été pareil. Lui faisant un bisou sur la joue, je partis en sautillant de sa chambre, notre mère avait finie par se lasser et m’attendais assise sur mon lit. « Alors ma belle ça va mieux ? » Me demanda-t-elle en caressant doucement le bas de mon dos, posant doucement ses lèvres sur mon front elle avait une mine soudainement soucieuse. « Tu as encore un peu de fièvre Nanah tu es sûre que tu ne veux pas aller chez le médecin ? » - « Ca va maman je te promet, va plutôt voir Ethan il s’amuse à se coller du scotch partout ! » Se levant en secouant la tête elle éclata de rire. « Qu’est ce qu’on va faire de ce gosse ? » Je haussais les épaules avec un grand sourire. « On l’attache et on l’abandonne ! » Elle sortis de ma chambre en caressant doucement mes cheveux avec un sourire en coin.
Ce soir là, descendant les escaliers j’entendais mes parents se hurler dessus, une fois de plus. Restant assise sur les escaliers je jouais machinalement avec la laine qui recouvrait le bois. Une nouvelle prise de tête, cela faisait un mois qu’ils ne cessaient pas, jamais, notre mère avait finis par jeter son téléphone à la poubelle. Cela me rendait dingue, Ethan devenait de plus en plus agressif au fil des jours et ils ne s’en rendaient même pas compte. Je sentis la moquette se plisser sous les pas de mon frère qui venait de s’asseoir derrière moi et de m’enlacer sans un mot. Cela devenait de plus en plus dur, nos parents se déchiraient littéralement et ils ne faisaient plus attention à nous, ils ne se rendaient pas compte que ça nous faisait souffrir. Plus nos parents hurlaient, plus Ethan me serrait contre lui, je l’entendais murmurer quelque chose mais je n’arrivais pas à l’écouter, je ne pouvais pas détacher mon attention de mes parents. Notre mère apparue sur le seuil des escaliers les yeux rougis par les larmes, se mordant la lèvre elle tenta une approche vers nous mais mon frère me tira vers lui et m’entraîna dans sa chambre. Fermant la porte à clef il s’y adossa en me regardant les yeux brouillés, sa respiration se faisait de plus en plus saccadée et il se mit à sangloter. C’était la première fois que je le voyais comme ça, lui d’habitude si fort, le genre de garçon qui à onze ans déjà prenait tout sur lui, se comportait en petit homme. M’approchant doucement de lui je m’accroupis en caressant son visage du bout des doigts, ses sanglots reprirent de plus belle et il se jeta dans mes bras. Je l’entendais pleurer et je ne savais pas quoi faire à part le serrer contre moi comme si c’était la dernière fois. Relevant son visage je lui déposais un baiser sur le front en relevant ses cheveux, mes larmes ne tardèrent pas à se mêler aux siennes.
Cela faisait un an que mes parents avaient divorcés, ils avaient finis par ne plus se supporter, elle parce qu’elle le trouvait trop peu concerné par les problèmes de ses enfants, lui parce qu’il en avait assez de sa femme et surtout il voulait avoir de l’air, ne plus être obligé d’avoir une vie de famille. Son travail était prenant, vers la fin il ne rentrait plus à la maison, il se noyait dans son travail. Il était parti à Nashville, se croyant bon prince il nous laissait la maison de Los Angeles cependant, ma mère savait qu’un jour il nous faudrait partir, il y avait de très mauvais souvenirs pour elle. De plus elle disposait de plusieurs compte en banque bien remplis et elle refusait de toucher à l'argent de son ex mari. Mais aujourd'hui il était revenu, pour parler avait-il dit, mais comme d'habitude cela finissait en pugilat.
Paradise ; État-Unis dix septembre deux mille onze. Assise en tailleur dans notre nouvelle maison je tirais sur ma cigarette avec nervosité en observant mon frère qui faisait les cent pas dans la pièce. Il me regardait comme si il allait me tuer sur le champ, soufflant la fumée vers lui je laissais échapper un petit rire avant de me lever à mon tour. Ethan venait de se battre avec un garçon du voisinage, notre mère, qui était venu être sûre que non nous n'avions pas pris un appartement miteux, était en train d’essayer de calmer les parents hystériques du jeune homme, quand à mon frère il devenait de plus en plus calme.
▬ « Tu te rend quand même compte qu’on viens tout juste d’arriver et toi tu frappe déjà quelqu’un ? » Lui dis-je en m’allumant une énième cigarette, s’approchant de moi il me l’arracha de la bouche avant de tirer une latte dessus. « J’aime pas qu’on te reluque, j’aime pas qu’on te cherche, j’aime pas qu’on essaye de te toucher. T’as toujours pas compris ça ? » Répondit-il en me regardant avec un sourire en coin. « Et tu es fragile, on t’emmerde pas. Basta. » Alors la, je devais rêver, je le savais protecteur mais il y avait quand même des limites, fragile. Tout de suite les grands mots. « Ouais et par ma faute tu risque d’aller en taule, tu réfléchis jamais ? » Il ne me répondit pas, se contentant de me regarder d’un air complètement interloqué. Il y avait des moments ou j’avais envie de le secouer, très très fort et de lui demander de se calmer parce qu’il allait loin. J’étais d’accord sur le point qu’il s’énerve, seul, dans sa chambre, contre son coussin, que le coussin gagne aussi pour rigoler. Toujours est-il qu’il avait parfois des réactions disproportionné.
Nous étions arrivé à Paradise deux jours auparavant et nous avions déjà des problèmes de voisinages, qu’est ce que ça allait donner à l'université. C’était mon principal sujet de conversation, au moindre souci Ethan allait clairement devenir dingue et il allait avoir de vrais et gros problèmes. Notre mère pouvait peut être le sauver sur ce coup là mais de Manhattan elle ne pourrait plus rien faire. « Et a la fac tu va faire comment ? Tu vas accourir tel Superman dés que j’aurais un souci ? Bordel t'as vingt deux ans Ethan ! » - « J’vais casser des dents. » Dit-il en me regardant droit dans les yeux, au moins cela avait le mérite d’être clair. Je sentais que cette année n’allait pas être de tout repos. « Et ta pompe en est ou ? » Je m’asseyais sur le lit en l’attirant vers moi. « Tout va bien t’inquiète pas, arrête de toujours stresser, j’suis un grand garçon. » Me levant en soupirant je lui tendis sa guitare. « Joue, faut qu’on se détende je crois. » Il prit la guitare en entamant les premiers accords d’une chanson de Paramore, j’éclatais de rire avant de le suivre en chantant.
Deux jours plus tard il nous fallait rentrer à la fac, faculté qui avait été bien mignon d’accepter mon frère malgré la plainte du voisin. Sortant de la maison Ethan pris le volant en sifflotant, il n’avait pas l’air si détendu que ça. M’allumant une cigarette je le regardais avec un sourire. « Oublis pas, je suis la gentille jumelle, tu es le méchant jumeau. » Posant sa main sur la mienne il éclata de rire en hochant la tête. « Notre nouvelle vie va donner. » Répondit-il simplement. Pour donner, ça elle allait donner.
Dernière édition par Savannah B. Evans le Mar 22 Nov - 0:03, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: SBEVANS ▬ « come on put your hands into the fire » Lun 21 Nov - 20:54 | |
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| Sujet: Re: SBEVANS ▬ « come on put your hands into the fire » Mar 22 Nov - 23:36 | |
| Merci beaucoup (Awn Paul... *se retient, se retient, se retient*) - Spoiler:
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