| | chuck ✿ you and i, we were born to die | |
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WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 26
| Sujet: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 12:15 | |
| Charlotte Harlow Blackwood-James oh i just can't get enough. Mon personnage ? Que dire sur lui ? Je devrais peut-être commencer par dire que Charlotte , aussi surnommé(e) Chuck est née le premier février 1987 à Los Angeles ce qui fait de elle une Américaine, actuellement, elle est blogueuse et étudiante en langues.. Dans la vie, elle est on ne sait pas trop, entre bisexuelle et hétérosexuelle et est célibataire [par choix à cause de la malédiction]. Elle vit dans la jolie ville de Paradise depuis cinq mois et ses habitants la qualifient souvent de futile, douce, hypocrite, imprudente, râleuse, joviale, libertine, sociale, forte, drôle et maladroite. Il fait partie du groupe jeune et libre et le reste, vous l'apprendrez en lisant l'histoire de sa vie. et sinon danslavraievie ? | Bonjour bande de petits curieux, si vous voulez tout savoir, les gens m'appellent Emilie ou BlackRoses., j'ai dix-sept ans ans et toutes mes dents. Puis comme Candice Accola est ma vie et qu'elle est parfaite, je l'ai choisie, c'est aussi simple que ça. YOUNG BUT MARRIED? Je l'ai connu grâce à Bazzart, notre dieu ! et c'est vraiment cool parce que ce forum est aussi simple que parfait c'est pour ça que je serais présent(e) sur le forum 5/7, pas mal hein ? Puis avant de partir, laissez moi vous dire : je dé-maudit cette ville parce que je suis dieu ? . zoubi! |
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candice accola [color=#cd4a59]✿[/color] chuck blackwood-james
Dernière édition par Chuck Blackwood-James le Dim 8 Jan - 22:23, édité 8 fois |
| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 26
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 12:16 | |
| Assise sur la chaise noire inconfortable d’une salle de restaurant luxueux, je passais le temps avec un martini. Enfin, « passer le temps » est un euphémisme. J’aurais préférais le déchiqueter, le bruler, le tuer ! A coup de machette pourquoi pas ! Malheureusement, je n’avais qu’une olive fripée, enrobée d’alcool, pour m’occuper. Le discours de mon père était d’un ennui mortel. Pourtant, tous les visages étaient tournée vers lui avec admiration. C’était lui, la star ce soir. Lui sur qui toutes les caméras se braquaient, lui sur qui tout les regards se tournaient. Lui et seulement lui. Moi, je n’étais là que pour la décoration. J’étais là pour l’image. Celle d’une famille unie, qu’on aimait adorer et envier. Famille parfaite. Vous savez, deux parents qui s’aiment, deux enfants, une fille et un garçon qui se chamaillent, mais s’adore bien sûr. En tout cas, c’est ce qui est écrit sur papier glacé. Je rigolai et laissai échapper un rictus en songeant aux gros titres du lendemain. « La famille parfaite », « Le héros des enfants », « L’amour familial à l’épreuve de l’amour international ». C’était sans cesse du sensationnel, de l’extrême. Et à chaque fois illusions, paillettes et rêve. Oh mon père avait bien sûr des allures de saints, dans son complet noir et blanc, avec ses chaussures vernies, ses cheveux gominés. Oui, il ressemblait à l’homme parfait. Un peu un George Clooney humanitaire. Je ne dirais pas où allait les cinq millions de dollars qu’il venait de toucher à cet énième congrès, cela en effraierait plus d’un. Mais ils n’allaient certainement pas aux mairies de pauvres bidons villes d’Afrique. Pas dans leur intégralité en tout cas. Peut-être cinq cent milles dollars, ou bien un million. Pas plus. C'était dérisoire au vu de la somme initiale ! Rendez-vous compte ? Même pas la moitié ! Oh ! Bien sûr j'aurais put dire tout ça à la presse. Vous savez, « les révélations chocs de la fille BLackwood ! » Rien de moins. Mais si mon père avait besoin de moi, moi, je n'étais rien sans lui. Mon portable vibra sur la table. Les invités attablés autour de moi - tous des trentenaires dégarnis et vieillissant - froncèrent les sourcils, tentèrent d'ignorer le dérangement occasionné. Encore une SMS de Neena. Ca n'allait pas. J'étais mal. Mal pour elle. C'était ma meilleure amie et sans elle, je n'étais rien. C'était simple, c'était mon oxygène. C'était le sentiment d'exister auprès de quelqu'un. Le sentiment de valoir autre chose qu'un simple cadre. J'écrivais. « Ma douce, pense juste au bon bain qu'on pourrait prendre toutes les deux d'ici quelques jours, quand je serais de retour. Tu me manque. Je t'aime. » Mes mots vous choquent ? Vous vous demandez ce qu'il y a entre elle et moi ? C'est mon amie, c'est tout. La meilleure. Pourtant on en a parlé des tas et des tas de fois. Elle m'aime et je ne suis pas intéressée. Mais on restait très proches. C'était comme ça. Je n'arrivais pas à me détacher d'elle. On ne se rend jamais compte du mal qu'on fait avec de simples mots en fait. Je ne m'en suis jamais rendu compte non plus, de la douleur que je pouvais provoquer en elle à cet instant précis. Mais que voulais-vous, j'ai mes problèmes aussi. « J'aimerais remercier tout particulièrement la personne qui me soutient et dont je suis le plus fière. Elle est ma chaire et mon sang ... » Mon cœur s'arrête, tressaute, passe la quatrième, s'emballe soudain. J'ai l'espoir soudain mais fugace que c'est mon nom qui va s'échapper d'entre ses lèvres. Mais je suis bête. « Kieran ! Mon fils ! » Kieran, fils prodige, fils parfait. Beau, intelligent, travailleur. Il ressemble à mon père. Il a le même charisme, la même prestance. Il a tout ce qui fait qu'il sera mieux, qu'il ne sera pas seulement exposé, il suivra mon père, il marchera sur ses traces, deviendra son bras droit. Et moi, derrière, je continuerait d'être l'image parfaite. Une image. Voilà ce que je suis. L'image glacée d'une vie aux allures parfaites. Et pourtant, vous savez toujours comment c'est, non, de l'autre côté ? Plus sombre. Ma mère absente, partie à l'autre bout des Etats-Unis, loin de mon père et de sa richesse surfaite. Oh bien sûr, elle tient à nous, à ses enfants chéris, mais c'est toujours le même refrain : « Chuck, prends soin de ton frère surtout ! » Je me contente de sourire en pensant à ce qu'il me fait, des fois. A ses mains qui se baladent parfois trop. Mais je ne peux pas en parler. Je n'ai pas le droit. Alors je me tais, me contente de le repousser. Il n'y en aura toujours que pour lui tant que je serais ici. C'est comme ça. Je n'y peux rien. Je me contentais alors de boire la flute de champagne qu'on venait de poser sur la table d'un trait. they don't know anything Je n'avais jamais rien contemplé de ma vie qui fasse aussi mal. Il se tenait là, dans son entière beauté, et il me souriait, et je l'aimais. Le problème dans cette histoire c'est qu'il m'avait aimé. Notez la nuance, c'est elle qui est importante. Car aujourd'hui, il n'y a plus rien. Plus rien pour lui, du moins. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, je ne sais pas comment cela s'est produit. Un jour on s'aimait, le lendemain, il me quittait. Ces paroles étaient douce. Il avait l'air de savoir ce qu'il faisait. J'avais l'impression qu'il disait simplement adieu à une amie. Mais j'étais plus que ça. « tu sais, je t'aime tellement Chuck.» « Tu m'aime, mais tu me quitte ? Explique moi Ezekiel, parce que je suis perdue, je ne comprends pas !.» « Je ... je sais pas, je l'aime elle, c'est ... différent. Je sais pas. Je n'ai jamais voulu te blesser !» Je réprimais un rire nerveux. J'essayais de rester calme, de ne pas m'emporter, de rester placide, distante, comme s'il n'était rien. Mais je n'y arrivais pas. Je ne pouvais pas. Je l'aimais plus que tout, plus que ma propre vie ! Il avait été là pour moi. Il savait pour mon frère. Il avait compris, et il m'avait recueillit quand j'allais au plus mal . Alors pourquoi e quittait-il maintenant ? Pourquoi si soudainement ? Je laissais les larmes dévaster mon visage, emportant tout sur leur passage. On dit que les larmes du dedans rongent et que celle de dehors soulage. Je ne me sentais pas mieux. Je n'allais pas bien. Même alors qu'il était partit. Un mois. Nous avions à peine eu un mois d'amour simple et idyllique. Juste le temps de s'effleurer les lèvres, de se souffler des mots d'amour et déjà il me file entre les doigts. Pour une autre. Je ne la connais pas. Je ne sais pas qui elle est, mais je sais une chose, si je pouvais, je la maudirais d'ainsi me voler mon paradis. Ezekiel était cela. Un paradis aussi brulant que l'enfer. Ça avait été chaotique. Ca n'aurait put être autrement, je veux dire, c'était le meilleur ami de mon frère tout de même. Il avait entendue tellement d'horreur sur moi, sortis tout droit de la bouche de mon cadet. C'était comme ça. Les gens le croyaient lui, le surdoué. Alors Ezekiel m'avait détesté. Il m'avait haï au point que je le haïssait tout autant. Et de la était née la force d'un amour méconnu. Oui, on dirait du Shakespeare et ça en avait bel et bien le goût. Car soyons franc, qui aurait voulu que nous soyons ensemble ? Personne ! Mais nous nous étions battu ! Et j'étais venue ici avec lui ! Seulement lui. Il n'y avait jamais eu que lui. Et maintenant, il me tournait le dos, s’apprêtant à partir. Je ne le voulais pas. Je voulais qu'il reste et qu'il me serre encore et toujours. « Dis moi que tu ne m'aime plu ! Dis moi que tu ne m'a jamais aimé. Haïs moi plus que tout au monde pour que je puisse t'oublier ! Mais dis le moi dans les yeux. Je veux te l'entendre dire : je ne t'aime plus. Dis le moi» je n'avais même plus conscience que mes mots étaient des cris. Il se retourna lentement, plongea son regard dans le mien. C'était intense et j'attendais ses mots pour qu'ils me transpercent le cœur une bonne fois pour toute. « Je ... » sa phrase resta suspendue, il hésitait. Et déjà, la voiture dehors, qui klaxonnait. « Zekiel ! dépeches toi ! !» De la où j'étais je ne voyais rien. C'était une voix féminine tout ce qu'il y a de plus normale, bien que ses intonations me rappellent vaguement quelque chose. Mais j'étais tout focalisé sur lui. Lui aussi. Mais il ne dis rien. Il partit. Il partit sans ne m'avoir jamais rien dit par rapport à ses sentiments pour moi. Il ne m'avait jamais dit qu'il ne m'aimait pas, ce soir là. Je crois que j'avais le cœur brisé.
Dernière édition par Chuck Blackwood-James le Dim 8 Jan - 22:20, édité 23 fois |
| | | dashing gorgeous irresistible WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : Architecte ➽ discours : 110
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 12:19 | |
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| | | Ҩ she has found her neverland WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : wannabe actress ➽ statut : coeur libre mais pas à prendre. ➽ discours : 206
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 12:20 | |
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| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : journaliste improvisée. ➽ discours : 44
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 12:21 | |
| Oh Candice, moi qui voulais en faire un scénario Anyway, si tu n'as pas une histoire totalement faite et que tu veux bien m'écouter, je suis ta femme (a) Bienvenue parmi nous en tout cas, et je me trompe si je dis que c'est lollipop, enfin ma meilleure amie trop sesky en naya/amber ? |
| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 26
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 12:56 | |
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| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : journaliste improvisée. ➽ discours : 44
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 13:00 | |
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| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 26
| | | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : journaliste improvisée. ➽ discours : 44
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 13:03 | |
| Oh le fouet, j'aime ça aussi Héhé, c'est envoyé |
| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : interne en chirurgie cardiaque. ➽ discours : 131
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 13:37 | |
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| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 26
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 14:02 | |
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| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : étudiante en stylisme. ➽ discours : 66
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 14:04 | |
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| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 26
| | | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : interne en chirurgie cardiaque. ➽ discours : 131
| | | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : Braqueur ➽ discours : 35
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 14:59 | |
| GOSHHHHH !!! !! Bienvenue jolie demoiselle !! |
| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : animatrice radio ➽ statut : en couple ➽ discours : 210
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 15:53 | |
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| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 51
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 16:12 | |
| Bienvenue |
| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 26
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 20:49 | |
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| | | take me back to the start WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ emploi : étudiante en ortho ➽ statut : célibataire et ne veut pas s'attacher, de peur de souffrir par la suite, à cause de sa maladie. ➽ discours : 198
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die Dim 8 Jan - 22:51 | |
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| | | WHAT ARE YOU HIDING ? ➽ discours : 26
| | | | WHAT ARE YOU HIDING ?
| Sujet: Re: chuck ✿ you and i, we were born to die | |
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| | | | chuck ✿ you and i, we were born to die | |
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