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 CLEA ❥ you don't know me and you don't even care.

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P. Cléa-Pryskä Pillsbury
P. Cléa-Pryskä Pillsbury
WHAT ARE YOU HIDING ?
➽ emploi : interne en chirurgie cardiaque.
➽ discours : 131

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MessageSujet: CLEA ❥ you don't know me and you don't even care.   CLEA ❥ you don't know me and you don't even care. EmptyDim 20 Mai - 12:38


Poppy Cléa-Blue Pillsbury
« citation »



Mon personnage ? Que dire sur lui ? Je devrais peut-être commencer par dire que Poppy Cléa-Blue Pillsbury , aussi surnommée Cléclé, Cléé est née le 12 septembre en Angleterre ce qui fait d'elle une anglaise, actuellement, elle est interne en chirurgie cardiaque. Elle est hétérosexuelle et est célibataire. Elle vit dans la jolie ville de Paradise depuis depuiscombiendetemps et ses habitants la qualifient souvent de adjectifs. Elle fait partie du groupe Jeunes et Libres et le reste, vous l'apprendrez en lisant l'histoire de sa vie.



Les histoires commencent toutes de la même manière, une fille et un garçon, un papa et une maman. C'est ainsi que commença la mienne. Le garçon dans ce cas la, c'est Jack Pillsbury Jr, fils d'un menuisier et d'une serveuse, autant dire que financièrement parlant, tout n'avait pas été tout rose pour lui, mais qu'importait puisqu'il avait une famille pour le soutenir. Sa vie changea lorsqu'il fût âgé de 22 ans, le soir même de son anniversaire, il se rendit dans un bar accompagné de quelques amis et rencontra celle qui allait devenir sa femme mais surtout ma mère, Caroline Bellecourt, fille d'une famille bourgeoise française venue faire ses études en Angleterre. Entre Caroline et Jack, tout alla tellement rapidement etentre eux naquit une histoire d'amour émouvante, parfait... ou presque, Presque étant donné que de nombreux obstacles se mirent sur leur route, le plus important étant leurs classes sociales. Evidemment, voir ma mère sortir avec un fils de menuisier était inacceptable pour ses parents qui lui firent faire un choix qui changerait le cours de sa vie et Caroline choisit bien évidemment l'amour et ne le regretta jamais. La vie n'était bien sûr pas facile pour eux, l'argent manquait puisqu'elle avait quitté le nid familiale les poches vides tandis que lui faisait des petits boulots par ci, par la, ce n'était pas évident mais ils s'aimaient, c'était le principal.

Leur amour était sans limites, ils voulaient prouver au monde qu'ils s'aimaient et c'est ainsi que neufs mois plus tard naquit leur premier et dernier enfant, Poppy Cléa-Blue Pillsbury (en l'occurence, moi) malheureusement, ma naissance marqua aussi le décès de Caroline, bien trop épuisée pour tenir le choc. Bien sûr, Jack fût effondré, au bord de la dépression nerveuse, surtout étant donné les dettes accumulées suite à cette mort et aux achats onéreux qui s'en suivirent mais mon père étant l'homme le plus courageux que j'ai pu rencontrer jusqu’à présent s'en sorti, selon lui, puisant sa force en mon sourire. (c'est toujours ce genre de phrases qui a fait de mon père un père si exceptionnel.)

Puis doucement, je grandis, sans même que mon père n'ait l'occasion de s'en rendre compte. En effet, le pauvre homme ne vivait pas, passant son temps a travailler, enchaînant trois petits boulots pour nous faire survivre, lui et moi. Nous n'étions que deux, oui, mais la vie n'en était pas plus facile, bien au contraire, il était dépassé par la situation, ce fut vraiment une horrible période que j'ai horreur de me remémorer. Ma douce enfance se déroula dans une petite ville d'angleterre, sale, poluée, dangereuse. Mais cette ville, je la trouvais merveilleuse, peut-être parce que c'était le seule endroit que je connaissais... Naïve, je trouvais l'endroit idyllique pendant que mon père s'acharnait pour nous faire quitter cet endroit affreux et malgré le fait que je ne le voyais pas énormément, je l'aimais, il m'aimait aussi et j'étais heureuse, c'était le principal pour lui, même s'il devait pour cela s'épuiser et s’affamer.

Dès que je me mis a fréquenter les bancs d'écoles, je savais qu'il ne me restait qu'une seule chose a faire : travailler dur, très dur afin d'obtenir un emploi qui pourrait nous sortir de cette misère. Je me sentais redevable envers mon père et c'est pour lui que je me privais moi aussi du plaisir d'avoir des amis, des petits amis et de participer a des fêtes, enfin ce genre de plaisirs innocents dont je me tenais éloignée afin de rester sérieuse et concentrée dans ma tâche. J'en ai énormément souffert mais peu importait, finalement puisque je prétendais m'en ficher.

A la fin, notre vie demeurait un fouillis, ne restant de nous que des épaves obsédées par le travail, tellement épuisés que si tout ça ne s'était pas terminé rapidement, nous en serions morts, sérieusement. Finalement, notre salut vint d'un triste évènement. A l'autre bout de l'angleterre vivait "Rosie Pillsbury", ma grand-tante par alliance dont je n'avais avant cet 'évènement" jamais entendu parler. En effet, il était rare pour Rosie de sortir de chez elle, économisant le plus possible depuis toujours, s'en réduisant presque a se nourrir exclusivement de fruits pourris. Mais cette habitude et obsession pour l'argent qui avait rendue sa vie insensée fit d'elle une millionnaire, incroyable mais vrai, non ? Quoi qu'il en soit, la malheureuse fût prise d'une crise cardiaque qui l'acheva et ne restant plus personne du coté des Pillsbury, mon père hérita de sa fortune, évènement qui rendit notre vie beaucoup plus vivable.

« Ma Cléclé, prépare tes valises, on bouge pour Paradise! » je me souviendrais éternellement de la fois ou mon père prononça cette phrase, un sourire aux lèvres, sourire que je n'avais pas vu depuis une éternité. Au départ, je pensais à une espèce de blague. Paradise, c'était quoi ce nom tellement cliché ? Mais finalement, il y a 6 ans, je m'y installai accompagnée de mon père, réalisant que ce nom collait parfaitement a cette ville. C'était devenu tellement parfait, je voyais mon père beaucoup plus souvent bien que celui-ci ait gardé un travail, qui lui plaisait et beaucoup moins contraignait. Quant à moi, je ne pus m'empêcher de garder cette habitude, d'être axée sur le travail. Ainsi, je commençai à trouver ma voie. J'allais être chirurgienne, les études étaient chères et longues, certes, mais nous en avions les moyens désormais et c'était ce que je voulais faire, même si j'aurais besoin de m'armer de beaucoup de patience, je voulais sauver des vies, me rendre utile...

Mais Paradise, c'est surtout une ville ou des mariages sont célébrés jour et nuit. Ayant entendu parler de la malédiction frappant tous les jeunes y habitant depuis le scandale McGreggor et étant superstitieuse, je préfère garder mes distances avec les garçons, par peur de me retrouver mariée moi aussi. Peut-être trouverais-je un jour un garçon avec qui je n'aurais pas peur de m'engager mais ça, c'est une autre histoire encore en cours.



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