→ Eliza , aussi surnommé(e) eli' a dix neuf ans puisqu'elle est né(e) 20 juillet 1993 à pradise ce qui fait de lui/elle un(e) américaine, actuellement, il/elle est étudiante. Dans la vie, il/elle est au choix et est célibataire/en couple. Il/elle vit dans la jolie ville de Paradise depuis sa naissance et les habitants le/la qualifient souvent de souriante et adorable et le reste, vous l'apprendrez en lisant l'histoire de sa vie.

« Pourquoi tout a tourné si mal ? » je riais avec ironie. mes lèvres s’emparèrent d'une cigarette, alors que mes poumons se remplissaient de cette fumée empoisonnante. Je me retournais, mes lèvres déformées par un sourire en coin, et regardait Eliza, ma petite sœur. « 'Tout' ? Ne fais pas semblant de ne pas parler de moi. » Je dévisageais son visage qui possédait comme à son habitude son air arrogant et supérieur. Malgré que nos physiques pouvaient nous confondre, nous n'avions absolument pas le même caractère. J'étais la sœur qui 'avait mal tournée' pour reprendre ses mots, elle était la fille rêvée de tous parents, celle qui réussissait tout ce qu'elle entreprenait, mes aussi la foutue garce populaire, jetant l'argent par la fenêtre. Elle se rapprocha de moi, saisissant mon bras, pour me forcer à la regarder droit dans les yeux. « J'en ai marre de toi ! Marre de toutes les merdes que tu fais ! Quand vas tu comprendre que tu te ruines la vie, tes études, et ta santé à vouloir tout le temps repousser tes limites ? » J'enlevais mon bras avec violence, et lui jetais un regard dès plus glacial. Nous nous disputions souvent avec ma soeur. Nous étions tellement différentes, mais en même nous avions toutes les deux un fort caractère, donc il était obligé que nous avions de nombreuses, très nombreuses disputes. Je me mis à rire, d'un rire qui sonnait tellement faux. « Tu vas me faire croire que tu t'inquiètes pour moi ? C'est la meilleure, tu n'aurais pu trouver un argument plus minable que ça. Tu te soucies surtout de ta petite réputation de merde. Avoue le, je te fais honte. tu as honte de moi, devant tes 'sœurs', tes amis et que sais je encore..ne viens pas me dire que tu t'inquiètes.. surtout pour moi. » Je crachais presque ses mots à sa figure, les disant avec colère et dégoût, cachant la pointe de tristesse qui était également présente. Elle secouait la tête comme si j’avais tord, que je me trompais. je commençais à me diriger vers la porte, alors qu'en plein milieu du chemin, je m'arrêtais et me retournais pour voir ma soeur. « la vie fut toujours injuste avec toi : les parents qui t'aimaient trop malgré tout ce qu'il se passait et toi qui ne m'aimais pas assez, qui normalement aurait du être la seule à me soutenir. » je continuais mon chemin, alors que sa voix retentissait, je restais immobile fixant la porte. « et toi qui n'a jamais aimé que toi même. ». J'avançais laissant ma soeur seule dans cette pièce.